Bergepanzer IV
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Frédéric Lisch
9 participants
- Frédéric Lisch
- Date d'inscription : 27/09/2019
Re: Bergepanzer IV
Sam 26 Déc - 17:09
Salut à tous,
Maintenant que le bas de caisse et le haut de caisse sont solidement assemblés, je commence les petites améliorations de mon engin. J'ai remplacé le rack d'origine des galets de rechange par un "fait maison". On peut imaginer que celui-ci a été fabriqué par un atelier de campagne afin d'augmenter la capacité de transport ou que le rack d'origine a été détérioré. Je l'ai réalisé avec un fer plat en laiton que j'ai découpé et plié aux bonnes dimensions renforcé par deux sections verticales en profilé plastique. Cette opération demande un bon ajustement au niveau des pliages du fer plat en laiton pour que les trois galets ne se "baladent" pas dans le rack.
Frédéric Lisch.
Maintenant que le bas de caisse et le haut de caisse sont solidement assemblés, je commence les petites améliorations de mon engin. J'ai remplacé le rack d'origine des galets de rechange par un "fait maison". On peut imaginer que celui-ci a été fabriqué par un atelier de campagne afin d'augmenter la capacité de transport ou que le rack d'origine a été détérioré. Je l'ai réalisé avec un fer plat en laiton que j'ai découpé et plié aux bonnes dimensions renforcé par deux sections verticales en profilé plastique. Cette opération demande un bon ajustement au niveau des pliages du fer plat en laiton pour que les trois galets ne se "baladent" pas dans le rack.
Frédéric Lisch.
nox, papoun et rourou trouvent que c'est du bon boulot.
- Frédéric Lisch
- Date d'inscription : 27/09/2019
Re: Bergepanzer IV
Sam 23 Jan - 11:23
Salut à tous,
Après une trêve de quelques jours, je me suis remis sur mon bergepanzer. J'ai attaqué le travail de modification et d'amélioration de la chèvre de levage. Je l'ai expliqué il y a quelques temps, je voulais que tous les éléments soient mobiles de façon à pouvoir installer la chèvre à n'importe quel endroit de l'engin et pouvoir l'utiliser comme dans la réalité.
En partant des pièces Dragon, de quelques pièces Trumpeter, de profilé plastique et d'un peu d'astuce, voici le résultat. Sur la première photo, à gauche, le mât d'origine dont les éclisses sont moulées dans la masse et à droite la même pièce modifiée. A l'aide d'une lame de scie en photodécoupe, j'ai donc séparé les éclisses et les ai percé. Le mât est également percé en haut et en bas pour recevoir deux petites longueurs de profilé plastique. Il suffit ensuite d'enfiler les quatre éclisses puis de coller les profilés dans le mât. Grâce à ce procédé, mes quatre éclisses sont mobiles.
Le mât sur lequel j'ai fixé les deux bras de force à l'aide de petites goupilles en profilé plastique.
Les anneaux de la potence et du mât sont également percés et fixés à l'aide de goupilles en profilé plastique.
Voici la chèvre installée provisoirement sur l'engin. Toutes les goupilles, elles aussi provisoires, seront affinées lors de l'assemblage définitif. Ce montage "à blanc" me permet de contrôler le bon ajustement de l'ensemble et de la bonne verticalité du mât. Le fil de cuivre est, lui aussi, provisoire et n'est présent que pour simuler l'installation de la potence. Ce fil de cuivre sera bien sûr remplacé pour une longueur de chaîne coulissant dans le tire-fort ; celui-ci sera fixé à l'anneau du mât et permettra de varier l'angle de travail de la potence. Prochaine étape : trouver le moyen de faire coulisser la chaîne dans le tire-fort et de pouvoir la bloquer au gré de mes envies ou selon le scénario de ma future saynète...
Frédéric Lisch.
Après une trêve de quelques jours, je me suis remis sur mon bergepanzer. J'ai attaqué le travail de modification et d'amélioration de la chèvre de levage. Je l'ai expliqué il y a quelques temps, je voulais que tous les éléments soient mobiles de façon à pouvoir installer la chèvre à n'importe quel endroit de l'engin et pouvoir l'utiliser comme dans la réalité.
En partant des pièces Dragon, de quelques pièces Trumpeter, de profilé plastique et d'un peu d'astuce, voici le résultat. Sur la première photo, à gauche, le mât d'origine dont les éclisses sont moulées dans la masse et à droite la même pièce modifiée. A l'aide d'une lame de scie en photodécoupe, j'ai donc séparé les éclisses et les ai percé. Le mât est également percé en haut et en bas pour recevoir deux petites longueurs de profilé plastique. Il suffit ensuite d'enfiler les quatre éclisses puis de coller les profilés dans le mât. Grâce à ce procédé, mes quatre éclisses sont mobiles.
Le mât sur lequel j'ai fixé les deux bras de force à l'aide de petites goupilles en profilé plastique.
Les anneaux de la potence et du mât sont également percés et fixés à l'aide de goupilles en profilé plastique.
Voici la chèvre installée provisoirement sur l'engin. Toutes les goupilles, elles aussi provisoires, seront affinées lors de l'assemblage définitif. Ce montage "à blanc" me permet de contrôler le bon ajustement de l'ensemble et de la bonne verticalité du mât. Le fil de cuivre est, lui aussi, provisoire et n'est présent que pour simuler l'installation de la potence. Ce fil de cuivre sera bien sûr remplacé pour une longueur de chaîne coulissant dans le tire-fort ; celui-ci sera fixé à l'anneau du mât et permettra de varier l'angle de travail de la potence. Prochaine étape : trouver le moyen de faire coulisser la chaîne dans le tire-fort et de pouvoir la bloquer au gré de mes envies ou selon le scénario de ma future saynète...
Frédéric Lisch.
papoun, Pierremi01, hauptmann, Mali et rourou trouvent que c'est du bon boulot.
- rourou
- Date d'inscription : 25/11/2019
Age : 61
Localisation : Montluçon (03)
Re: Bergepanzer IV
Sam 23 Jan - 21:13
du bien beau travail . bien joué pour les éclisses
j'attends la suite avec envie
j'attends la suite avec envie
papoun trouve que c'est du bon boulot.
- Frédéric Lisch
- Date d'inscription : 27/09/2019
Re: Bergepanzer IV
Lun 25 Jan - 15:12
Salut à tous,
Pour varier les plaisirs, je laisse de côté le matériel de levage pour me consacrer quelques instants aux ridelles de la plage arrière. En effet, ce genre d'engins devait transporter tout un fartas de caisses, d'outillages, de pièces de rechange. Je devais donc concevoir quelque chose de solide mais suffisamment rudimentaire pour admettre que ces ridelles avaient été fabriquées en atelier de campagne par les gars de la compagnie de réparation et de maintenance.
Pour ce faire, j'ai utilisé des profilés plastiques plat et en U coupés aux bonnes dimensions puis collés directement sur la plage arrière. J'en ai profité pour coller les crochets que l'on voit sur le panneau arrière. Les deux plus grands sont spécifiques au Bergepanzer ; on ne les trouve donc pas sur le char de bataille. J'ignore ce à quoi ces crochets pouvaient servir ; peut-être pour y enrouler du câble, de la corde ou les flexibles de l'appareil d'oxycoupage. Quoi qu'il en soit, ceux-ci me permettront d'y accrocher du petit matériel comme des seaux ou des chaînes de remorquage. J'en ai également profité pour coller la poulie à l'arrière de l'engin. Voici les images.
Frédéric Lisch.
Pour varier les plaisirs, je laisse de côté le matériel de levage pour me consacrer quelques instants aux ridelles de la plage arrière. En effet, ce genre d'engins devait transporter tout un fartas de caisses, d'outillages, de pièces de rechange. Je devais donc concevoir quelque chose de solide mais suffisamment rudimentaire pour admettre que ces ridelles avaient été fabriquées en atelier de campagne par les gars de la compagnie de réparation et de maintenance.
Pour ce faire, j'ai utilisé des profilés plastiques plat et en U coupés aux bonnes dimensions puis collés directement sur la plage arrière. J'en ai profité pour coller les crochets que l'on voit sur le panneau arrière. Les deux plus grands sont spécifiques au Bergepanzer ; on ne les trouve donc pas sur le char de bataille. J'ignore ce à quoi ces crochets pouvaient servir ; peut-être pour y enrouler du câble, de la corde ou les flexibles de l'appareil d'oxycoupage. Quoi qu'il en soit, ceux-ci me permettront d'y accrocher du petit matériel comme des seaux ou des chaînes de remorquage. J'en ai également profité pour coller la poulie à l'arrière de l'engin. Voici les images.
Frédéric Lisch.
papoun, Pierremi01, Mali et rourou trouvent que c'est du bon boulot.
- Pierremi01
- Date d'inscription : 19/01/2019
Age : 55
Localisation : Ain 01
Re: Bergepanzer IV
Mar 26 Jan - 10:56
Bonjour Frédéric,
Ton étude est toujours passionnante et instructive.
J'adore ce type de montage.
Les bidouilles pour rendre la chèvre mobile sont bien pensées et réalisées.
En dehors de Voyager que tu cites, tu trouves aussi chez Tiger Model Design deux chèvres plus simples : une précoce ref 3511956 et une tardive 351002
Sais-tu si les modèles montables sur les pilzen des chars (chèvres de 2 tonnes) étaient des versions allégées des versions dispo sur les bergpanzer IV ou bergpanther ou exactement les mêmes (caractéristiques et dimensions ?)
Si tu as l'info je suis preneur.
Je cherche à m'en fabriquer une à moindre frais pour un dio et je me baserais du coup sur les dimensions de celle du Bergpanzer IV Trumpeter dont la boite dort dans mon stock, (si ce sont les même).
Merci d'avance si tu as la réponse.
Ton étude est toujours passionnante et instructive.
J'adore ce type de montage.
Les bidouilles pour rendre la chèvre mobile sont bien pensées et réalisées.
En dehors de Voyager que tu cites, tu trouves aussi chez Tiger Model Design deux chèvres plus simples : une précoce ref 3511956 et une tardive 351002
Sais-tu si les modèles montables sur les pilzen des chars (chèvres de 2 tonnes) étaient des versions allégées des versions dispo sur les bergpanzer IV ou bergpanther ou exactement les mêmes (caractéristiques et dimensions ?)
Si tu as l'info je suis preneur.
Je cherche à m'en fabriquer une à moindre frais pour un dio et je me baserais du coup sur les dimensions de celle du Bergpanzer IV Trumpeter dont la boite dort dans mon stock, (si ce sont les même).
Merci d'avance si tu as la réponse.
papoun et rourou trouvent que c'est du bon boulot.
- Frédéric Lisch
- Date d'inscription : 27/09/2019
Re: Bergepanzer IV
Mar 26 Jan - 20:35
Salut à tous, salut Pierre,
Voici une question tout-à-fait intéressante à laquelle je n'ai pas forcément les réponses appropriées mais plutôt des pistes à suivre ou des champs de réflexion. Il est vrai que je me suis déjà posé cette question de savoir si il existe plusieurs modèles de chèvre (ou de portique) de levage et voici mes propres conclusions.
Mais revoyons un peu le contexte historique. Nous sommes vers la fin de la guerre et les Allemands ont un manque cruciale de moyen de dépannage. Raison pour laquelle les engins de combat produits à cette époque sont pratiquement tous dotés de plots servant à l'installation d'un portique de levage nécessaire à la dépose d'un moteur ou d'une transmission. D'une certaine manière, ces engins peuvent donc se suffire à eux-mêmes. Malheureusement, la littérature est assez muette à ce sujet et les photos présentant ces moyens rudimentaires de levage en situation sont des plus rares. Cependant, nous avons connaissance de photos présentant ces chèvres au travail fixés sur des engins non prévus pour ça.
L'une d'entre-elles présente un Stug IV dont le canon est enlevé à l'aide d'une chèvre installée sur l'engin lui-même. Hors, ce qui frappe en regardant cette photo faite vraisemblablement en usine, est le fait que le mât et ses bras de force ne sont pas fixés sur les plots prévus à cet effet sur le toit de casemate puisque celui-ci est... démonté ! Cette chèvre ressemble à ce que nous propose Trumpeter ou Dragon mais on y remarque quelques différences. D'une part, les espaces existant entre les trois éclisses, celle de l'anneau du tire-fort et celles des bras de force. Ces espaces n'apparaissent pas sur les chèvres que nous construisons au 1/35e. D'autre part, le tire-fort permettant l'inclinaison de la potence semble utiliser un câble alors que les plans de montage de nos maquettes préconisent d'utiliser une chaîne. Il est vrai qu'un tire-fort peut utiliser soit l'un soit l'autre selon son mode de fonctionnement. Toujours sur cette même photo, le palan ressemble énormément à celui que l'on trouve dans la boîte du Bergepanzer Dragon. En conséquence, on serait en droit de penser que cette chèvre (celle du Stug IV) et celle produite par Dragon sont les mêmes en dehors bien sûr des petits écarts entre les éclisses…
Une autre photo nous montre un Tiger Ausf B en bien mauvaise posture dont le panneau de visite de la plage arrière est démonté et enlevé par une chèvre de levage ressemblant, là aussi, à celles de nos maquettes. Cependant, le tire-fort est différent ainsi que l'anneau de renvoi qui n'est pas rond mais oblong. De même, il semble que le tire-fort utilise un câble plutôt qu'une chaîne. Dans cette scène, le palan est carrément différent et me semble un peu léger pour soulever le V12 Maybach. D'autre part, si l'on fait une estimation de la hauteur du mât par rapport à la taille d'un des individus visibles sur la photo dont la moyenne serait de 1,70 m, on devrait arriver entre 2,00 et 2,10 m. Le mât de la maquette Dragon fait 65 mm que l'on multiplie par 35 ce qui nous donne 2,28 m. En conclusion, j'ai bien l'impression que nous ayons à faire à deux modèles différents.
Autre constatation mais qui n'a rien à voir avec ce qui nous préoccupe, les six hommes que l'on voit s'affairer sur le Tiger ne semblent pas être des membres de l'équipage mais plutôt des mécanos de la compagnie de maintenance voire même d'ouvriers civils.
Sans vouloir affirmer qu'il existe plusieurs types de chèvres, je pense que ceux que l'on peut voir sur les Bergepanzer IV et ceux prévus pour être installer sur les engins de combat sont différents. Dans ce bref propos, on devrait également prendre en compte la chèvre de levage du Bergepanzer Hetzer produit au 1/35e par la marque Thunder Model ainsi que celle du Bergepanther "late" de chez Takom. La chèvre du Bergepanther début de production est d'un modèle très différent. Enfin, Meng a sorti récemment un Jagdpanther "late" avec une chèvre de levage et il serait intéressant de la comparer avec celle du Bergepanzer Dragon.
Voici ce que je peux dire à ce stade de la partie. En l'absence de bons documents qui nous permettrait d'être catégorique, il m'est impossible de trancher. En espérant avoir plus ou moins répondu à ta question et surtout avoir ouvert la voie à d'autres suggestions de la part des internautes...
Et merci pour les compliments sur mon travail.
Frédéric Lisch.
Voici une question tout-à-fait intéressante à laquelle je n'ai pas forcément les réponses appropriées mais plutôt des pistes à suivre ou des champs de réflexion. Il est vrai que je me suis déjà posé cette question de savoir si il existe plusieurs modèles de chèvre (ou de portique) de levage et voici mes propres conclusions.
Mais revoyons un peu le contexte historique. Nous sommes vers la fin de la guerre et les Allemands ont un manque cruciale de moyen de dépannage. Raison pour laquelle les engins de combat produits à cette époque sont pratiquement tous dotés de plots servant à l'installation d'un portique de levage nécessaire à la dépose d'un moteur ou d'une transmission. D'une certaine manière, ces engins peuvent donc se suffire à eux-mêmes. Malheureusement, la littérature est assez muette à ce sujet et les photos présentant ces moyens rudimentaires de levage en situation sont des plus rares. Cependant, nous avons connaissance de photos présentant ces chèvres au travail fixés sur des engins non prévus pour ça.
L'une d'entre-elles présente un Stug IV dont le canon est enlevé à l'aide d'une chèvre installée sur l'engin lui-même. Hors, ce qui frappe en regardant cette photo faite vraisemblablement en usine, est le fait que le mât et ses bras de force ne sont pas fixés sur les plots prévus à cet effet sur le toit de casemate puisque celui-ci est... démonté ! Cette chèvre ressemble à ce que nous propose Trumpeter ou Dragon mais on y remarque quelques différences. D'une part, les espaces existant entre les trois éclisses, celle de l'anneau du tire-fort et celles des bras de force. Ces espaces n'apparaissent pas sur les chèvres que nous construisons au 1/35e. D'autre part, le tire-fort permettant l'inclinaison de la potence semble utiliser un câble alors que les plans de montage de nos maquettes préconisent d'utiliser une chaîne. Il est vrai qu'un tire-fort peut utiliser soit l'un soit l'autre selon son mode de fonctionnement. Toujours sur cette même photo, le palan ressemble énormément à celui que l'on trouve dans la boîte du Bergepanzer Dragon. En conséquence, on serait en droit de penser que cette chèvre (celle du Stug IV) et celle produite par Dragon sont les mêmes en dehors bien sûr des petits écarts entre les éclisses…
Une autre photo nous montre un Tiger Ausf B en bien mauvaise posture dont le panneau de visite de la plage arrière est démonté et enlevé par une chèvre de levage ressemblant, là aussi, à celles de nos maquettes. Cependant, le tire-fort est différent ainsi que l'anneau de renvoi qui n'est pas rond mais oblong. De même, il semble que le tire-fort utilise un câble plutôt qu'une chaîne. Dans cette scène, le palan est carrément différent et me semble un peu léger pour soulever le V12 Maybach. D'autre part, si l'on fait une estimation de la hauteur du mât par rapport à la taille d'un des individus visibles sur la photo dont la moyenne serait de 1,70 m, on devrait arriver entre 2,00 et 2,10 m. Le mât de la maquette Dragon fait 65 mm que l'on multiplie par 35 ce qui nous donne 2,28 m. En conclusion, j'ai bien l'impression que nous ayons à faire à deux modèles différents.
Autre constatation mais qui n'a rien à voir avec ce qui nous préoccupe, les six hommes que l'on voit s'affairer sur le Tiger ne semblent pas être des membres de l'équipage mais plutôt des mécanos de la compagnie de maintenance voire même d'ouvriers civils.
Sans vouloir affirmer qu'il existe plusieurs types de chèvres, je pense que ceux que l'on peut voir sur les Bergepanzer IV et ceux prévus pour être installer sur les engins de combat sont différents. Dans ce bref propos, on devrait également prendre en compte la chèvre de levage du Bergepanzer Hetzer produit au 1/35e par la marque Thunder Model ainsi que celle du Bergepanther "late" de chez Takom. La chèvre du Bergepanther début de production est d'un modèle très différent. Enfin, Meng a sorti récemment un Jagdpanther "late" avec une chèvre de levage et il serait intéressant de la comparer avec celle du Bergepanzer Dragon.
Voici ce que je peux dire à ce stade de la partie. En l'absence de bons documents qui nous permettrait d'être catégorique, il m'est impossible de trancher. En espérant avoir plus ou moins répondu à ta question et surtout avoir ouvert la voie à d'autres suggestions de la part des internautes...
Et merci pour les compliments sur mon travail.
Frédéric Lisch.
papoun trouve que c'est du bon boulot.
- Pierremi01
- Date d'inscription : 19/01/2019
Age : 55
Localisation : Ain 01
Re: Bergepanzer IV
Mar 26 Jan - 21:08
Bonsoir Frédéric,
Merci pour ta réponse rapide et ton expertise.
Je connaissais la photo du Tigre II, pas celle du Stug, et tu as un œil très affuté (anneau oblong et pas rond par exemple).
Je dois avoir un dessin d'un changement d'embrayage à l'aide d'une chèvre sur un Panther, je vais la regarder à nouveau sachant quoi regarder maintenant !
tout plein.
Bonne soirée
Pierre-Michel
Merci pour ta réponse rapide et ton expertise.
Je connaissais la photo du Tigre II, pas celle du Stug, et tu as un œil très affuté (anneau oblong et pas rond par exemple).
Je dois avoir un dessin d'un changement d'embrayage à l'aide d'une chèvre sur un Panther, je vais la regarder à nouveau sachant quoi regarder maintenant !
tout plein.
Bonne soirée
Pierre-Michel
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