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Patrice DEBUCQUOY
Date d'inscription : 22/01/2019

Bref historique du modélisme militaire au 35ème Empty Bref historique du modélisme militaire au 35ème

Mer 29 Juin - 14:50
Séquence Nostalgie

Mise à jour d'un texte pondu en 2 008.
Bref historique du modélisme militaire au 35ème

ou les souvenirs d’un papy colleur.


J’avais envie de vous raconter mes Campagnes comme quand j’étais petit, avant la télévision, j’écoutais les Anciens de la famille raconter les leurs…pour ne pas oublier…comment c’était…avant.

__________________________________________________ _______________

Petit Larousse : Maquette : -modèle réduit en pièces détachées prêtes à monter.
-représentation en 3 dimensions, à échelle réduite.
Maquettiste : professionnel capable d’exécuter une maquette d’après plans, dessins, données . numérisées.
Maquettisme : (pas de définition)
Modélisme : fabrication de modèles réduits.
Modéliste : personne qui fabrique des modèles réduits.

Il semblerait donc que je sois un modéliste…qui assemble des maquettes.

__________________________________________________ _____________________

La première moitié du 20ème siècle a vu les jouets militaires en bois, en carton (qui sont toujours une spécialité des pays de l’est européen) ou en tôle. La première forme de modélisme « véhicules » est la reproduction de trains, ce qui est logique car ce sont les premiers véhicules automobiles (= qui possèdent leur propre moteur de propulsion) existants (Echelle « O » = 43ème ou « HO » = 87ème pour la plupart).

La première révolution vient de l’injection plastique dans les années 50 avec des modèles de voitures à l’échelle ferroviaire « O ». Dans la foulée les premières maquettes militaires en tant que telles voient le jour : Anglais, Américains et Japonais se partagent le marché, chaque fabricant utilise plusieurs échelles : ce qui en dicte le choix est la taille de la boîte ! Les Anglais et leurs cousins d’Amérique vont néanmoins standardiser une échelle : le 32ème qui permet la mesure directe car leurs instruments sont pré-gradués en 32ème de pouce. C’est l’époque du « what looks right is right ! » (ce qui semble exact est exact ! ). Il faut dire que la documentation n’est pas abondante (le pionier Airfix Magazine date de 1960 et les quelques autres revues/fanzines datent de 1965 pour AFV News et Tankette, 1969 pour AFV G2 , la collection AFV/Profile date de 1968, Military Modelling de 1971, Modelworld et Squadron/Signal de 1972 et sont en langue anglaise et très difficiles à se procurer, en langue allemande apparaissent en 1975 Model Fan et Modell Magazine, quant à la première revue généraliste en Français, c'est Maquettes Plastique Magazine qui date de novembre 1970 et encore ce n’est que le supplément à la revue Radiomodélisme sous la forme d’un encart de 16 pages au curieux format de 20X22cm…et sans article « blindés »), les musées peu nombreux (les collections de Saumur ne seront partiellement ouvertes au public qu’au milieu des années 70) et les collectionneurs quasi-inexistants (les véhicules militaires de surplus servent pour les exercices de tirs réels, sont refondus ou encore vendus comme bêtes de somme aux agriculteurs, garagistes, industriels…). Les modélistes voulant de la nouveauté convertissent ou fabriquent sur la base de quelques photos leurs propres maquettes à base de carton avec même des boutons de mercerie pour les galets de roulement.

Deuxième révolution : la standardisation du 35ème. Tamiya, à l’origine modeste fabricant de jouets en bois, sortait déjà depuis quelques années des blindés au 21ème, 25ème, 48ème lorsqu’en 1967, il lance sa gamme 35ème. Ce sont toujours des jouets motorisés (1 ou 2 moteurs Mabuchi) livrés dans la tradition asiatique avec un tube de colle. Néanmoins, on commence à trouver des figurines, des petits véhicules de complément (Kübelwagen, Schwimmwagen, BMW R75 avec son side-car puis sans, Jeep…), des canons ; tout cela avec un boxart magnifique. Par son choix de modèles, sa distribution mondiale et surtout sa qualité de fabrication, Tamiya a su imposer « son échelle » au reste du monde…sauf pour les gros fabricants de 32ème qui opposeront une farouche résistance et garderont leurs fidèles pendant encore quelques années jusqu’à extinction de la gamme, voire de la marque ou pour les plus opportunistes la coexistence des 2 échelles dans la même gamme. D’autres fabricants se rendent compte que la tendance du marché international n’est plus au jouet motorisé pour les enfants aidés du papa mais à la maquette « display » pour les ados et les papas. Tamiya s‘aligne : ses dernières nouveautés motorisées datent de 1974 hormis un B1bis et un Mk IV en 2014 (le boxart stipule "it runs") ainsi que quelques chars radiocommandés essentielement pour leur marché domestique, mais les stigmates de cette motorisation restent longtemps présentes sous les châssis des véhicules "display"!
Ces années 70 resteront des années d’euphorie : beaucoup de nouvelles marques se lancent dans l’aventure du 35ème avec en particulier Nitto(1972), Italaerei (1973) qui simplifiera son nom en Italeri (1980), Nichimo (1973), Max/Tomy/Peerless (1974), Heller (1975), Esci (1976). La gamme Tamiya s’étoffe rapidement : 1975, aux 33 modèles déjà existants (sans compter les « motorisés »), s’ajoutent 15 références militaires (hors figurines), 1976 : 19 références, 1977 : 15 références. Dans ces années-là, on découvre l’aérographe Badger et les premiers accessoires : de l’outillage électrique miniature, des profilés plastique en I, H, C, T, O, de la carte plastique, des microrods, des microstrips. Letraset sort des transferts à sec, Esci, Almark et Heller des décals représentant des symboles tactiques, des croix, des insignes de divisions blindées, des plaques d’immatriculation pour les véhicules allemands qui, il est vrai, représentent 90% des références sur le marché. N’oublions pas Humbrol qui prend son envol et un modéliste belge qui fait parler de lui : François Verlinden !

Que l’aime ou que l’on n’aime pas , le personnage existe et moi, qui ai modestement travaillé pour lui, je dois bien reconnaître qu’il a été clairvoyant et qu’il a su faire évoluer dans le bon sens le paysage du modélisme militaire en Europe et même plus loin encore. Il illustre parfaitement ce que j’appellerai la révolution des artisans. A cela, plusieurs déclencheurs : certains maquettistes doués à la fois dans leur travail et dans la communication publient dès 1976 des photos de leurs productions dans les quelques revues spécialisées dans toutes les langues, c’est le début de la professionnalisation du modélisme : on admire la finition patinée et la mayonnaise prend, le public en redemande. Bilan : Verlinden illustre les couvercles (jusque là assez tristes) des nouvelles boîtes Italaerei dès 1977 ; en parallèle il conçoit et commercialise sa propre ligne d’éléments de décor « Diorama Construction System » (le mot diorama est lancé ! ) en association avec le figuriniste anversois Tomker (1978) et publie ses premiers livres en 1981. Le modéliste Lambda découvre avec émerveillement ce que l’on peut faire avec un aérographe, le dry-brush, le lavis, les impedimenta sur les véhicules, les figurines soignées, les scenettes vivantes (pour le puriste un diorama doit être présenté dans une boîte fermée et éclairée et une saynète est une pièce du théâtre espagnol) avec décor, gravats, végétation, le tout sur une belle plaquette. En 1984, Verlinden & Stock se lance dans l’outillage : pinceaux, « punch and die » (qui ne fut jamais commercialisé bien que d’excellente qualité ! ), la figurine, le transkit et même le véhicule complet.
Mais ce début des années 80 est aussi une période de vaches maigres : les législations européennes envisagent l’interdiction de vente des jouets violents, belliqueux (les maquettes en font partie) aux mineurs, voire même l’interdiction totale ; en outre, les grandes marques restreignent leurs programmes militaires : par exemple en 1981 Tamiya, ayant trouvé un nouveau débouché avec la radio-commande, sort une seule nouveauté ; en 1982, une référence en plastique et deux en white-metal. De plus, il y a une distorsion entre les importations et la demande des consommateurs ; dans de nombreux pays d’Europe, les prix des maquettes japonaises et américaines deviennent exorbitants. En conséquence, des artisans prennent le relais d’abord par des conversions puis des véhicules complets. En Allemagne et en Europe de l’Est, c’est l’avènement du vacuform (technique peu onéreuse déjà utilisée par les modélistes « aviation »), puis en 1985 (avec l’apparition de la colle cyanoacrylate peu de temps auparavant), c’est la résine (qui a ses origines dans le moulage des voitures civiles au 43ème, échelle « O ») qui prend ses lettres de noblesse en Belgique, en France, en Angleterre puis aux USA : elle permet (quoiqu’à un coût nettement supérieur) une meilleure définition des détails et un moulage en 3 dimensions. La première photodécoupe (qui tient aussi ses origines du modélisme ferroviaire et des voitures au 43ème) apparaît en 1985 en Belgique (Verlinden avec du barbelé) et en Angleterre (Scale Link avec des éléments de décor au 32ème), puis aux USA (1987), au Japon (1989) avant de voir débarquer les spécialistes de l’Est (1992) et les Chinois (2005). Les chenilles à maillons séparés font leur apparition au Japon (Model Kasten en 1987) ; quant aux premiers tubes de canon en métal tourné (origine : modélisme ferroviaire pour les essieux des wagons) ils envahissent le reste de l’Europe à partir de l’Espagne (Jordi Rubio 1993) ; Il faut aussi noter l’arrivée à la fin des années 90 des pots d’échappement ultra-réalistes en métal du russe Moskit. C’est aussi de Belgique qu’arrivent en 1982 les premières figurines en métal au 35ème , plus expressives et plus détaillées (Belgo) que la production en injecté. La course irréversible vers le réalisme est lancée.
De nombreuses marques ont disparu, ont changé de propriétaire ou de secteur d’activités, d’autres heureusement plus nombreuses sont arrivées avec en tête, de Hong Kong, Dragon en 1989. Toute cette concurrence a entraîné une certaine émulation et la tendance est à cette époque à des maquettes variées, plus fidèles, à agrémenter de compléments en résine, en photodécoupe, en métal tourné et de chenilles à maillons séparés. Bilan : le prix de base a doublé, voire même triplé avec plusieurs risques. En effet, le maquettiste Lambda voulant rester dans la course achetait tous ces compléments sans discernement, parvenait rarement (ou à quel prix ?) à tout mettre en œuvre et arrêtait tout, dégoûté de ne pas « savoir le faire comme les autres » car il avait oublié qu’il devait avant tout se faire plaisir, à son rythme, selon ses moyens (financiers et techniques) ; que dire aussi de la jeune génération, la relève, qui, lassée de ne voir que des maquettes à « haute valeur ajoutée » dans la majorité de la presse spécialisée (souvent affiliée aux importateurs, aux magasins ou recevant des échantillons qu’il faut bien utiliser pour ne pas rebuter les annonceurs) ne pouvait pas suivre, n’osait pas présenter ses œuvres dans les concours de peur de faire allumer par les « gourous » omniscients (qui devraient se remémorer leurs premiers montages avec humilité) et risquait de se détourner de ce hobby et si la clientèle n’existe plus…Certaines marques avaient senti ce nouveau marché pour « les riches » et Gunze Sangyo en véritable précurseur dès 1988 sort toute une série de chars allemands « High Tech » avec les grosses pièces de base en plastique injecté, les pièces de détails rapportés en white-metal, de la photodécoupe, un canon en laiton tourné, des câbles en cuivre, des chenilles Model Kasten…mais le public ne suit pas : en effet l’ouverture de la boîte provoque un choc (450 pièces pour un Panther au lieu d’une centaine de pièces pour un kit classique ! ), mais l’autre choc vient du prix : 5 fois plus cher. Après quelques années de succès d’estime, Gunze jette l’éponge et cède la majorité de ses moules à Dragon qui aura la prudence de sortir toutes les pièces en plastique injecté et fera l’impasse sur les pièces de super-détails, ce qui permettra de ramener les prix dans des proportions raisonnables.

Trêve de pessimisme, révolution suivante : Internet. Vers 1997 se généralise pour le commun des mortels ce nouveau moyen de communication dont les modélistes vont s’approprier une toute petite parcelle : un magazine multi-langue avec des milliers de pages et de photos, les annonces des nouveautés du monde entier en temps réel, les analyses de ces mêmes nouveautés faites en majorité par des indépendants souvent de renom, une bourse d’échange planétaire, un courrier des lecteurs pratiquement non censuré et tout cela quasi gratuitement, ajoutez-y le plus grand magasin du monde. Quelques bémols pourtant : la connaissance de la langue anglaise est vivement recommandée, les photos ne sont pas toujours de la meilleure qualité, les forums de discussion ou plutôt les intervenants sont de qualité irrégulière (attention aux gourous !), l’orthographe parfois aléatoire (j’imagine les étrangers pensant pratiquer la langue de Voltaire ou nous croyant maîtriser celle de Shakespeare...), on ne voit pas les maquettes « en vrai » et pour la vente par correspondance, quelques margoulins sévissent mais ça, ce n’est pas nouveau. Mais il y a plus grave à mon sens : le développement d’Internet gratuit se fait au détriment du support papier payant. Ce partage des informations a néanmoins eu une influence bénéfique chez certains fabricants : la tendance à sortir des modèles ultra-détaillés, utilisant des moules à tiroir, ajoutant chenilles à maillons séparés, canon en métal tourné, photodécoupe raisonnable et même n’hésitant pas parfois à rectifier certains détails (donc à modifier leurs moules) durant la production qui se fait dans des pays à bas coût de main d’œuvre ce qui permet de garder un prix correct pour la majorité d’entre-nous qui pourra se faire plaisir avec un excellent kit… évidemment toujours perfectible.

La dernière révolution en date est à mon avis l'impression 3D mais là, ça dépasse mes compétences et mon entendement. Comment comparer un "classique" à 1 000 pièces avec un "3D" à 5 pièces (c'est le minimum que j'ai vu au 35ème : 2 trains de roulement, 1 caisse, 1 tourelle, 1 canon) et dont la qualité d'impression évolue de mois en mois, sans compter le prix de revient nettement inférieur, le fait qu'il ne faut plus stocker, faire moins de manipulations (je pense que la phase conception est à la base quasi identique et je vois des artisans qui ne fabriquent plus mais vendent leurs fichiers "conception", charge au maquettiste d'imprimer lui-même sa maquette en nombre d'exemplaires et à l'échelle qu'il désire) ?



Patrice DEBUCQUOY (modéliste, gourou, auteur, etc…) tombé
dans le chaudron d’Airfix quand il était petit (1962) puis qui a
eu la piqûre de rappel Tamiya en 1972..et qui trouve toujours
autant de plaisir à monter ses maquettes.


Dernière édition par Patrice DEBUCQUOY le Lun 17 Avr - 12:14, édité 1 fois

nox, ft-66, Lomax, zurich, papoun, Pierremi01, Laurent Deneu et trouvent que c'est du bon boulot.

rourou
rourou
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Bref historique du modélisme militaire au 35ème Empty Re: Bref historique du modélisme militaire au 35ème

Mer 29 Juin - 18:12
bravo pour ce bel exercice d'écriture super 
je suis maquettiste depuis l'âge de 10/12 ans comme bien d'autre parmi nous et j'ai commencé avec un mirage lll de chez Heller qui avait comme tu le dit l'ampoule de colle   cheers.

Sinon ,tu as bien résumé toutes ces années passées avec les évolutions au fil du temps .

merci pour ce moment de "revival"  bravo2

amicalement

éric

Pierremi01 et Patrice DEBUCQUOY trouvent que c'est du bon boulot.

Lomax
Lomax
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Bref historique du modélisme militaire au 35ème Empty Re: Bref historique du modélisme militaire au 35ème

Mer 29 Juin - 19:38
Le choc pour moi en 1980, j'ai 10 ans et je découvre un vrai magasin de maquettes dans ma ville, Grenoble. Coup de foudre pour le 1/35 avec des dioramas qui font rêver ! Rencontre avec la marque Tamiya et achat de ma première boite de figurines "German observation group" avec ses poses réalistes. Achat aussi du catalogue 1980 et il me faut absolument le Sdkfz 223 ! super

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Pierremi01
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Localisation : Ain 01

Bref historique du modélisme militaire au 35ème Empty Re: Bref historique du modélisme militaire au 35ème

Jeu 30 Juin - 0:06
Bonsoir Patrice,

C'est avec beaucoup de plaisir et de nostalgie que j'ai lu ton historique.

C'est dans les années 1970 avec les quelques francs dans ma poche que j'ai commencé avec les Matchbox au 1/76ème.
Puis quelques avions Heller et le Foch.

Après, au lycée découverte du 1/35 avec le M60A3 Tamiya et je suis resté sur cette échelle.
et surtout accumulation de docs dont les fameux ouvrages de François Verlinden et de Sheperd Paine pour savoir ce qu'on peut faire et comment.

La révolution Internet de mon côté, c'est les forums qui apparaissent et pouvoir juger si ce que l'on fait dans son coin tient la route ou pas.
Les innombrables pas à pas permettent de voir techniques, trucs et astuces et de faire des kits soit de plus en plus compliqués, soit de les améliorer facilement.

Après, à tout à chacun de choisir sa voie, mais pour moi, je fais en sorte que cela reste un plaisir.

Patrice DEBUCQUOY et rourou trouvent que c'est du bon boulot.

Laurent Deneu
Laurent Deneu
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http://www.histopic.net/

Bref historique du modélisme militaire au 35ème Empty Re: Bref historique du modélisme militaire au 35ème

Jeu 30 Juin - 8:44
Bonjour Patrice,

Wouf ! Un défilé d'images dans ma tête. Que de souvenirs, que d'enthousiasme partagé.
Cette rétrospective fait vraiment beaucoup de bien.
Le maquettisme pour se faire plaisir, tout est là.. ou devrait être là.
Les gourous sont une plaie lorsqu'ils sortent du rôle de conseiller pour devenir tyrans.
Amitiés
Laurent
biere

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Dété Frédéric
Dété Frédéric
Date d'inscription : 10/02/2019
Age : 65
Localisation : Biguglia

Bref historique du modélisme militaire au 35ème Empty Re: Bref historique du modélisme militaire au 35ème

Jeu 30 Juin - 12:29
Très belle retrospective et comme Laurent tu m'as fait remonter des souvenirs, des images, mes premiers kits heller dans les années 70 mais je n'avais pas encore attrapé le virus... 7 ans plus tard découverte de ma première  maquette monogram  de voiture au  1/24

Bref historique du modélisme militaire au 35ème MVC-760X

et je tombe en arrêt sur les dioramas du regretté Sheperd Paine  

Bref historique du modélisme militaire au 35ème Diorama-Shep-Paine

Et là le déclic est apparu.


Les premières maquettes militaires avec Italaeri à l'époque , Esci et ce dodge  qui n'est jamais sorti en maquette !



Bref historique du modélisme militaire au 35ème AM-JKLVmJbe_d_lJCM9eJiVKoGkMe59d_VyOqtHUMNAQZbVl2YUwJc5uqFNiP34ClupFo29CqKTG-EM7s8mmlRt9n2ADctGlRPdKq0RrobSFFpGn91ctvZyj_3DkxiHVItJJyofH7KhvjGtTlRkSRF8Lcqzl4A=w800-h313-no?authuser=0

Les kits Airfix  je me rappelle avoir acheté un dodge personnel carrier en Angleterre !!



Enfin Tamiya avec ces catalogues et les dioramas de François qui me faisait réver !

C'est à cette époque que je découvre un certain Patrice Debucquoy sur les livrets de traduction des Verlinden Way.....

Ce mystérieux Styrofoam  j'ai mis du temps à comprendre de quoi il s'agissait    !!!!! lol!

Pierremi01, Patrice DEBUCQUOY et rourou trouvent que c'est du bon boulot.

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